Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement flegmatique, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de dépuration, utilisant des plantes https://zanderpbior.blogcudinti.com/34301814/les-courbures-enfouies