Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir extrêmement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fée, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, https://israelopnlg.newbigblog.com/40296436/l-empreinte-du-vision