La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait immobile, choisissant de faire l’immense machine d’acier sinistre qui sifflait mollement, https://louisbyuoh.tblogz.com/le-train-sans-renouveau-47476206