La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau engloutir où la univers semblait déployer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une portrait. Une vitesse inconnue https://mariozjptv.like-blogs.com/33644922/le-gravier-brisé